Malgré mon désir d'aimer Bégaudeau, il faut que je me rende à l'évidence, François n'est pas pour moi !
Dans une préface intitulée "antiquoi ?", il explique le concept de l'antimanuel qui se veut plus, non pas un pendant aux manuels scolaires, mais plutôt l'occasion de se pencher sur les aspects tus de ces derniers.
Suit le sommaire de cet ouvrage composé de 5 parties sous forme de questionnements sur la littérature.
Ce qui est évident, c'est que l'auteur déchaîne les commentaires et réactions. Certains déplorent son verbiage quand d'autres apprécient sa liberté de ton et de pensée. Quant à moi, après m'être accrochée pendant les 20 premières pages, j'ai survolé l'ouvrage et me suis rendue compte que j'étais plus attirée par les documents iconographiques choisis pour illustrer les chapitres que par les propos dont l'humour, sous forme de jeux de mots et jonglages avec les théories littéraires, alourdit considérablement l'ensemble.
C'est usant pour le lecteur et j'avoue avoir eu du mal à suivre ce ping-pong littéraire, sport dans lequel excelle l'auteur !
Et puis, encore une fois, un procédé qui pourrait amusé (ici les échanges en bas de page entre l'éditeur -supposé- et l'auteur) est usé jusqu'à la corde et de ce fait lasse.
Donc, si on résume, ce qui m'a le plus plu dans cet antimanuel de littérature ce sont les images !
Oui, il faut bien se l'avouer, Bégaudeau et moi, c'est terminé.
Stéphanie.
Dans une préface intitulée "antiquoi ?", il explique le concept de l'antimanuel qui se veut plus, non pas un pendant aux manuels scolaires, mais plutôt l'occasion de se pencher sur les aspects tus de ces derniers.
Suit le sommaire de cet ouvrage composé de 5 parties sous forme de questionnements sur la littérature.
Ce qui est évident, c'est que l'auteur déchaîne les commentaires et réactions. Certains déplorent son verbiage quand d'autres apprécient sa liberté de ton et de pensée. Quant à moi, après m'être accrochée pendant les 20 premières pages, j'ai survolé l'ouvrage et me suis rendue compte que j'étais plus attirée par les documents iconographiques choisis pour illustrer les chapitres que par les propos dont l'humour, sous forme de jeux de mots et jonglages avec les théories littéraires, alourdit considérablement l'ensemble.
C'est usant pour le lecteur et j'avoue avoir eu du mal à suivre ce ping-pong littéraire, sport dans lequel excelle l'auteur !
Et puis, encore une fois, un procédé qui pourrait amusé (ici les échanges en bas de page entre l'éditeur -supposé- et l'auteur) est usé jusqu'à la corde et de ce fait lasse.
Donc, si on résume, ce qui m'a le plus plu dans cet antimanuel de littérature ce sont les images !
Oui, il faut bien se l'avouer, Bégaudeau et moi, c'est terminé.
Stéphanie.
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