Pennac décrit dans ce livre, ses états de cancre passé et de professeur à la retraite avec son habituelle et renversante utilisation de l'adjectif.
Ce n'est cependant pas un livre de souvenirs, pas uniquement tout du moins...
Autant on se délecte des passages où il raconte ses rencontres avec d'anciens élèves, autant on comprend mieux le mal être de l'enfant entraîné dans une scolarité laborieuse qui le plonge dans la certitude de sa nullité.
Peut-être que le propos s'égare un peu vers la fin mais heureusement, son double "le cancre" est là pour mieux recentrer l'écrivain sur son intention première.
Stéphanie.
Stéphanie.
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