Alors là, désolée, je n'ai même pas une photo du livre à vous fournir. Remarquez, ce n'est pas bien grave car il vaut mieux l'éviter !
Mais commençons par le commencement.
Ma collègue et moi préparons une exposition sur les écrivaines de romans policiers. La moindre des choses est donc d'en lire. Ayant aperçu une bonne critique d'un livre de Julie Parsons, je me rends au fond de la bibliothèque, aux rayons policiers, histoire de vérifier que nous en avons au moins un. Bingo !
Et me voilà, avec entre les mains, "En Mémoire de Mary", le premier roman de Julie Parsons.
Au fur et à mesure de ma lecture, je commence à sauter des passages (mauvais présage pour la suite, vous en conviendrez...). Trop de retour en arrières à mon goût et qui, de plus, n'apporte rien au déroulement du récit. Manque d'efficacité.
Ensuite, ce ne sont plus des passages que je saute, mais des pages entières. Que c'est long ! Le criminel se fait arrêté à la page 211 (pour un livre qui en compte 396 de pages, on se demande bien se qui va suivre !) et craque de suite avec larmes, aveux et tout le reste !
Pfouu...
Je vous passe les pages sur le procès. De toute façon il est acquitté ! Ben oui ! L'auteure fait passer cette énormité en utilisant une, ô combien facile, figure elliptique.
Alors là, je vais jusqu'à la fin du livre, mais sans grand espoir et la clausule ne rachète évidemment pas ce désastreux roman.
Stéphanie.
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