J'ai dévoré ce roman pour adolescents pratiquement d'une traite, tant l'histoire est prenante, et presque plausible dans le futur...
Les hommes se sont réfugiés dans une tour gigantesque, Babel, après avoir totalement pollué la Terre. Le Grand Nuage a empoisonné l'atmosphère, rendant toute vie à l'air libre impossible.
Liram vit chez les Aériens, dans les plus hauts étages de la tour. Suite à l'assasinat sauvage de ses parents, il doit quitter son univers protégé et descendre dans les étages inférieurs pour sauver sa vie.
Dans sa fuite, il comprendra quelle est sa mission, réunir des adolescents comme lui, ayant un tatouage similaire au sien, marque qui leur permettra d'ouvrir enfin la Porte de Babel, car au bout de dix siècles l'air est enfin redevenu limpide...
Liram ira de surprises en étonnements en découvrant les mondes inférieurs, où les hommes ont survécu dans des conditions parfois inhumaines, et où même certains ont été victimes de mutations.
Les cinq jeunes gens parviendront-ils enfin à ouvrir la Porte, et à quelle conditions ?
Ce texte est admirablement écrit, et porteur d'un précieux message d'espoir et de tolérance, dans un univers post-apocalyptique clos, où l'on se sent parfois manquer d'air.
Il était en compétition pour le Prix Marguerite Audoux 2009.
Odile
1 commentaire:
J'essaierai bien ses "clefs de Babel" parce que je suis restée quelque peu dépitée par les deux tomes de la trilogie prévue "la quête des livres-monde" du même auteur.
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